Les substances actives.....souvent a(ddi)ctives ! = médicaments, compléments alimentaires et autres drogues . sont à considérer avec vigilance par les sportifs -
Médicaments et compléments alimentaires doivent être prescrits par un médecin. A ce propos, choissez votre médecin traitant parmi les médecins du sport, de préférence un connaisseur du Volley. La FFVB a établi une liste de médecins qu’elle tient à votre disposition. -
Le médecin ne prescrit un médicament à un sportif qu’en dernier recours, car, au-delà des contraintes de la loi anti-dopage qu’il doit appliquer, il sait que les "médicaments ne sont pas bons pour la santé mais bons pour les malades". Tous les médicaments ont, outre leur action thérapeutique, des effets secondaires et des effets toxiques ; le rapport bénéfice/risque s’évalue pour chaque individu et en fonction de la gravité de la maladie, rôle du médecin prescripteur. .
De plus il faut savoir que les Laboratoires Pharmaceutiques ne destinent pas leurs médicaments aux jeunes, car il y a un risque de perturber la croissance, et encore moins aux sportifs, parce que les effets des médicaments sont accrus dans l’effort. .
Donc si un sportif doit prendre un médicament, c’est qu’il a un souci de santé, ponctuel en général. Il doit arrêter matches et entraînements pendant les quelques jours de traitement car il y a des risques d’accidents. Il en guérira d’autant plus vite et, positivons, ce break lui permettra de se recharger pour repartir de plus belle. -
Les compléments alimentaires engendrent une sur-alimentation éliminée immédiatement par l’organisme. Les compléments ne doivent être pris que si une carence a été détectée par le médecin traitant. La carence est rare si on mange de manière "équilibrée", elle traduit alors problème de santé. Les compléments doivent donc être considérés comme des médicaments ; d’ailleurs ils sont parfois appelés alicaments. Attention ! ils ne sont pas soumis aux mêmes contrôles qualité que les médicaments; de ce fait certains fabricants-vendeurs/Internet y ajoutent des substances dopantes. -
Les drogues sont une forme d’automédication contre le stress. Les français abusent des psychotropes, pas étonnant que leurs enfants aussi ! Il faut savoir que, comme les médicaments, les drogues contiennent des substances actives : tabac/nicotine, joint/THcannabinol, chnouff ou crack/cocaïne, stimulants/amphétamines etc. Elles agissent dans le cerveau, définition des psychotropes, avec un phénomène de dépendance. Mais elles atteignent de nombreux autres organes et y engendrent des effets néfastes. Pour les sportifs, la gêne toxico-respiratoire des fumées est un appel du corps. =
Coup de blues ? coup de stress ? prenez une dose de …Volley !! La pratique d’un sport apporte le plaisir et vous aide à éviter le recours à des "substances actives".
En plus, le Volley, sport collectif et mixte, vous permet de se retrouver entre ami(e)s et de s’entraider. Vos co-équipiers/ères vous motiveront pour être en forme, l’intérêt mutuel, en respectant une hygiène de vie.
JJKoenig le 15/01/2008 . Lu dans la presse sportive en Janvier 2008: La multiplication des accidents cardiaques en Foot Pro soulève de nombreuses questions dont "l’utilisation de substances actives en compensation de la répétition des compétitions". Commentaire AIFVB : Les substances actives peuvent provoquer un dépassement de soi inattendu, non-maîtrisé, et/ou se fixer sur le coeur et perturber son fonctionnement (les contractions du coeur se font par des micro-circuits électriques très sensibles) * | 
